







Lors de son arrivée à Monaco en vue du Grand Prix de la F1, Max Verstappen en a mis plein la vue avec son nouveau bolide aquatique.
En fait, le quadruple champion du monde de Formule 1 est débarqué en Europe avec son tout nouveau Yacht de luxe, qui retient définitivement l’attention. Selon ce qu’on sait, l’engin en question de la marque Mangusta Gran Sport 33 vaudrait dans les alentours de 12 millions d’euros, soit un peu plus de 13,6 millions de dollars (US).
L’appareil se nomme Unleash The Lion, lui qui mesure pas moins de 33 mètres, soit 109 pieds de longueurs, en plus d’avoir de multiples pièces, dont un lounge et un salon, pouvant accueillir un total de 12 personnes. L’emplacement a recours à tout le nécessaire, et bien plus, afin que le principal intéressé voit ses besoins être complètement comblés. Le nom du paquebot s’identifie clairement à Verstappen lorsqu’il pilote une voiture, soit féroce et redoutable aux yeux de ses adversaires.
Le nouveau bijou du Néerlandais peut aussi atteindre 300 miles nautiques à l’heure, offrant une vitesse plus que considérable pendant ses déplacements.
Aussi, le représentant principal de l’écurie Red Bull n’en est pas à son premier rodéo avec les véhicules luxueux, lui qui possède aussi un jet privé.
Disons que son arrivée à Monte Carlo a été remarquée de tous!
Donald Trump menace une nouvelle fois l’Europe avec des droits de douane de 50% dès le mois de juin.
Selon lui, les négociations commerciales avec les pays européens n’aboutissent à rien, et il accuse de nouveau l’Union européenne d’avoir été créée principalement pour tirer profit des États-Unis sur le plan commercial.
Trump s’est exprimé sur le sujet dans une tirade publiée sur Truth Social, laissant transparaître sa frustration: «Nos discussions avec eux ne mènent à rien!».
Sur Truth Social, Trump affirme que l’Union européenne impose, selon lui, des barrières commerciales excessives, des taxes à la valeur ajoutée, des sanctions visant les entreprises américaines ainsi que diverses manipulations monétaires.
Selon lui, ces pratiques ont contribué à creuser un déficit commercial de plus de 250 milliards de dollars par an avec les États-Unis, un niveau qu’il juge inacceptable.
Depuis le déclenchement de la guerre commerciale mondiale par Donald Trump à son arrivée à la Maison-Blanche, l’Union européenne semble jusqu’ici lui tenir tête avec succès. Cette résistance apparente semble attiser la colère du président.
Trump conclut sa déclaration enflammée en appelant à l’instauration d’un droit de douane de 50% sur les importations en provenance de l’Union européenne à compter du 1er juin. Il souligne néanmoins que cette mesure ne s’appliquera pas aux produits fabriqués ou assemblés sur le sol américain.
Les tensions s’intensifient en West Bank après que l’armée israélienne a visé une délégation étrangère en visite, invoquant des «tirs de sommation».
Israël affirme que la délégation aurait quitté l’itinéraire initialement prévu, justifiant ainsi l’intervention militaire.
L’incident a eu lieu lors d’une mission officielle chargée d’évaluer la situation humanitaire dans la ville de Jénine, en West Bank, un territoire occupé par Israël. Il a impliqué plusieurs ambassadeurs et diplomates de pays tels que le Canada, le Royaume-Uni, la France, la Turquie, l’Irlande et l’Italie.
L’armée israélienne a exprimé ses regrets pour «les inconvénients causés», alors que des ambassadeurs et diplomates auraient dû se mettre à l’abri sous les tirs.
Selon The Guardian, elle a également précisé que les personnes impliquées dans l’incident recevront les conclusions de son enquête interne sur l’incident.
La scène a été captée en vidéo: on y aperçoit des diplomates fuyant en courant pour se mettre à l’abri dans une rue voisine, alors que de brèves rafales de tirs retentissent à plusieurs reprises. Une voix, dans l’enregistrement, affirme que les soldats israéliens tirent en direction de la délégation.
Plusieurs responsables étrangers ont réclamé des explications à la suite de cet incident jugé inacceptable. Des dirigeants européens, notamment en France, ont convoqué les ambassadeurs israéliens dans leurs capitales pour obtenir des précisions sur les circonstances de l’événement.
D’après des images satellites récentes, confirmées par des responsables de l’OTAN cités par le New York Times, la Russie aurait nettement renforcé sa présence militaire à proximité de la frontière avec la Finlande.
Cette situation suscite une vive inquiétude au sein des pays membres de l’OTAN, en particulier ceux qui partagent une frontière avec la Russie.
Les images satellites révèlent une intensification de l’activité militaire russe à la frontière finlandaise, notamment sur une base d’hélicoptères jusque-là inactive.
On y distingue, selon le New York Times, la construction de nouveaux entrepôts probablement destinés à des véhicules militaires, l’installation de tentes de troupes ainsi que des abris pour avions de chasse.
Les responsables de l’OTAN estiment qu’il pourrait s’agir des premières étapes d’un effort d’expansion à long terme visant les pays de l’Alliance, une fois la guerre en Ukraine terminée. Ils ne considèrent toutefois pas ces récents mouvements militaires comme une menace imminente.
Ces développements récents devraient très probablement occuper une place centrale lors du sommet de l’OTAN prévu dans quelques semaines, en juin.
Rappelons que depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, les tensions à la frontière russo-finlandaise se sont nettement aggravées. L’offensive de Moscou a bouleversé l’ordre sécuritaire en Europe, poussant la Finlande à abandonner sa position de neutralité historique pour rejoindre l’OTAN en 2023.
En réponse à cette nouvelle donne, la Finlande a lancé la construction d’une barrière le long de l’ensemble de sa frontière orientale, afin de renforcer sa sécurité nationale et de prévenir toute tentative d’incursion en provenance de Russie.
Le président Donald Trump a accueilli à la Maison-Blanche son homologue sud-africain, Cyril Ramaphosa, pour une visite censée apaiser les tensions entre les deux pays.
Pourtant, Trump aurait plutôt tendu un piège, que plusieurs observateurs n’ont pas manqué de comparer à celui tendu de manière brutale au président ukrainien Volodymyr Zelensky quelques mois plus tôt.
Il n’a pas fallu longtemps à Donald Trump pour passer à l’offensive lors de sa rencontre avec le président sud-africain. Au cours de l’entretien dans le Bureau ovale, les lumières ont été éteintes pour projeter une vidéo dans laquelle un membre d’un parti d’opposition sud-africain entonne un chant appelant à la mort des Afrikaners, terme désignant les fermiers blancs d’Afrique du Sud. La séquence incluait également des images non vérifiées censées montrer une fosse commune où auraient été enterrés des fermiers blancs.
Ramaphosa a vigoureusement réfuté ces accusations, précisant que les chants et propos diffusés dans la vidéo ne représentent en rien la position du gouvernement, et rappelant que les actes criminels affectent l’ensemble des communautés sud-africaines, sans distinction.
Le président sud-africain a ensuite affirmé n’avoir jamais vu les images de la fosse commune en question, et a demandé à son homologue américain des précisions sur leur origine, en particulier l’endroit exact où elles auraient été filmées, afin de pouvoir en vérifier l’authenticité. Donald Trump a écarté la question, estimant que ce détail n’avait pas d’importance.
Il convient de rappeler que Donald Trump est ciblé depuis plusieurs années par les efforts de lobbying d’AfriForum, une organisation sud-africaine représentant les intérêts de la minorité afrikaner.
Bien que ce groupe se défende d’utiliser explicitement le terme de «génocide blanc», ses campagnes mettent en avant des récits de persécution visant les fermiers blancs. C’est d’ailleurs une vidéo produite par AfriForum que Trump a choisi de diffuser face au président sud-africain lors de leur rencontre.
Ces discours issus de l’extrême droite ont également été relayés par l’ancien animateur vedette de Fox News, Tucker Carlson, qui a largement contribué à diffuser aux États-Unis la théorie du «génocide des fermiers blancs».
Elon Musk, lui aussi, a joué un rôle dans cette amplification. Originaire d’Afrique du Sud et désormais conseiller influent de Donald Trump, Musk a repris ces allégations de «génocide blanc», notamment à travers son chatbot d’intelligence artificielle, Grok, vivement critiqué pour avoir propagé des affirmations infondées sur des violences prétendument ciblées contre les Blancs en Afrique du Sud.
Le dirigeant nord-coréen assistait au lancement officiel d’un nouveau navire de guerre lorsqu’en quelques instants, la cérémonie a viré au fiasco.
Le navire, baptisé Choe Hyon, s’est brusquement renversé sur le côté alors qu’il était en cours de lancement depuis le quai, lors d’une mise à l’eau latérale.
L’incident aurait provoqué la fureur du dirigeant nord-coréen, qui l’a rapidement qualifié d’acte de sabotage, qualifiant la scène d’«acte criminel», selon The Guardian.
Selon l’agence de presse officielle KCNA, certaines sections du fond du navire de guerre de 5 000 tonnes se seraient brisées, un incident qui, selon elle, a entraîné l’effondrement de la dignité et de l’estime de soi de l’État nord-coréen.
Humilié, Kim Jong-un a dénoncé l’incident comme un acte de négligence totale et d’irresponsabilité inexcusable, affirmant qu’il était tout simplement intolérable.
De leur côté, les médias d’État nord-coréens ont attribué l’échec du lancement latéral, une première en Corée du Nord, à l’inexpérience du commandement et à une grave erreur opérationnelle.
La Corée du Nord avait prévu que ce navire de guerre entre en service dès le début de l’année prochaine, mais à la suite de ce fiasco, son avenir demeure désormais incertain.