La bande-annonce complète et finale de Happy Gilmore 2 est en ligne, alors que le film est prévu pour le 25 juillet prochain sur Netflix, avec le personnage Happy Gilmore qui sera de retour sur les terrains de golf!
Notons que le film aura droit à plusieurs caméos de qualité de la part d’Eric André, Margaret Qualley, Martin Herlihy, Travis Kelce, Bad Bunny, Ben Stiller, Ken Jennings, Stephen A. Smith, Eminem (!), Post Malone, Becky Lynch, Rory McIlroy et beaucoup plus.
'Happy Gilmore 2' trailer teases cavalcade of cameos: Post Malone, Eminem and more https://t.co/20j6HBtbhn
Dans les dernières décennies, les Glorieux ont offert plusieurs documentaires palpitants à ses partisans, dont celui de 24 CH et La reconstruction: au cœur des Canadiens de Montréal.
Dans cette ligne de pensée, une toute nouvelle œuvre sera proposée à ces derniers, qui sera lancée en quatre parties de 60 minutes sur la plateforme Illico+ le 19 juin prochain. Elle portera le nom suivant: Le CH et son peuple.
Le documentaire mettra en lumière la relation unique entre l’équipe montréalaise et ses partisans, justement, grâce à des entrevues de Brendan Kelly, Bob Gainey, Chris Nilan, Serge Savard, Scotty Bowman, Michel Bergeron, Denys Arcand, Viggo Mortensen et Biz, notamment.
Réalisée par Frédéric Nassif, plusieurs co-producteurs se sont joints à la création de la série, dont Aetios Productions, les Productions Déferlantes et Québecor Contenu.
«Le CH et son peuple»: dévoilement des premières images de la nouvelle série documentaire sur le CH (@frededs) https://t.co/0vrgPLCMdd
— Le Journal de Montréal (@JdeMontreal) June 3, 2025
Des premières images viennent d’ailleurs d’être partagées sur les réseaux sociaux, afin de teaser les amateurs de hockey et les Québécois dans l’ensemble!
On sent que l’engouement risque de monter, alors que le titre sera disponible en ligne dès le 19 juin 2025!
MONTREAL, CANADA- APRIL 1: Sam Bennett #9 of the Florida Panthers gets ready to face off against Nick Suzuki #14 of the Montreal Canadiens during the second period of the NHL regular season game at the Bell Centre on April 1, 2025 in Montreal, Quebec, Canada. The Montreal Canadiens defeated the Florida Panthers by a score of 3-2. (Photo by Vitor Munhoz/NHLI via Getty Images)ANAHEIM, CALIFORNIA – APRIL 09: Trevor Zegras #11 of the Anaheim Ducks looks on during the second period of a game against the Calgary Flames at Honda Center on April 09, 2025 in Anaheim, California. (Photo by Sean M. Haffey/Getty Images)SALT LAKE CITY, UTAH – APRIL 10: Ryan O’Reilly #90 of the Nashville Predators warms up prior to a game against the Utah Hockey Club on April 10, 2025 at Delta Center in Salt Lake City, Utah. (Photo by Jamie Sabau/NHLI via Getty Images)DALLAS, TEXAS – APRIL 12: Matt Duchene #95 of the Dallas Stars looks on during the second period against the Utah Hockey Club at American Airlines Center on April 12, 2025 in Dallas, Texas. (Photo by Sam Hodde/Getty Images)ANAHEIM, CA – APRIL 7: Mason McTavish #23 of the Anaheim Ducks celebrates a goal in the third period of the game against the Edmonton Oilers on April 7, 2025 at Honda Center in Anaheim, California. (Photo by Debora Robinson/NHLI via Getty Images)LAS VEGAS, NEVADA – NOVEMBER 17: William Karlsson #71 of the Vegas Golden Knights looks on during a game against the Washington Capitals at T-Mobile Arena on November 17, 2024 in Las Vegas, Nevada. (Photo by David Becker/NHLI via Getty Images)BOSTON, MASSACHUSETTS – FEBRUARY 4: Marco Rossi #23 of the Minnesota Wild warms up prior to a game against the Boston Bruins at the TD Garden on February 4, 2025 in Boston, Massachusetts. The Bruins won 3-0. (Photo by Richard T Gagnon/Getty Images)ELMONT, NEW YORK – JANUARY 16: Mathew Barzal #13 of the New York Islanders is congratulated by Bo Horvat #14 after scoring a goal against the Philadelphia Flyers during the third period at UBS Arena on January 16, 2025 in Elmont, New York. (Photo by Mike Stobe/NHLI via Getty Images)SEATTLE, WASHINGTON – FEBRUARY 02: Jared McCann #19 of the Seattle Kraken looks on against the Calgary Flames during the third period of a game at Climate Pledge Arena on February 02, 2025 in Seattle, Washington. (Photo by Christopher Mast/NHLI via Getty Images)BUFFALO, NEW YORK – APRIL 17: Tage Thompson #72 of the Buffalo Sabres skates during warmups before a game against the Philadelphia Flyers at KeyBank Center on April 17, 2025 in Buffalo, New York. (Photo by Rebecca Villagracia/Getty Images)
Donald Trump Jr. et Eric Trump ont amassé plusieurs centaines de millions de dollars en quelques mois grâce à des investissements dans les cryptomonnaies, l’immobilier international, les technologies émergentes et des fonds liés à l’agenda MAGA.
🚨New: “Eric Trump and his brother Don Jr., worth somewhere in the ballpark of $50 million apiece before their father took office again, could each have earned another $20 million or so from recent crypto ventures.”@kylekhanmullins.bsky.social for @bsky.app
Les Trump semblent profiter pleinement de leur proximité avec le pouvoir depuis le retour de leur père à la Maison Blanche en janvier 2025.
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Eric Trump a piloté l’expansion internationale de la Trump Organization, avec en vitrine un vaste complexe de golf de 1,5 milliard de dollars lancé au Vietnam. Le projet a démarré peu après que son père a instauré une taxe de 46% sur les importations vietnamiennes, alimentant les soupçons de conflit d’intérêts. Plusieurs accusent le président de prendre des décisions politiques susceptibles de favoriser indirectement ses intérêts personnels ou ceux de sa famille.
Depuis le début du second mandat de son père en 2025, Donald Trump Jr. a lancé plusieurs projets immobiliers à l’étranger. Le plus marquant est la Trump Tower Belgrade, un immeuble de luxe en Serbie. Estimé à 500 millions de dollars, le projet se situe sur l’ancien site du ministère de la Défense yougoslave et bénéficie d’un bail de 99 ans accordé par l’État serbe. Comme d’autres projets de la famille Trump, il fait polémique en raison des liens entre leurs affaires privées et la présidence.
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Depuis le retour de son père au pouvoir, Eric Trump a fortement investi dans les nouvelles technologies. Il s’est engagé dans des projets liés aux centres de données, aux drones et à l’intelligence artificielle, en collaboration avec des entreprises comme Dominari Holdings et American Data Centers. Ces sociétés, qui visent des contrats fédéraux, suscitent déjà de nombreuses critiques.
En mars 2025, Eric Trump a cofondé «American Bitcoin», une entreprise de minage qui veut devenir l’un des plus grands producteurs de bitcoins aux États-Unis. Son objectif: miner à bas coût, accumuler une réserve importante de bitcoins, et entrer en bourse sous le nom «American Bitcoin», avec le symbole «ABTC».
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Donald Trump Jr. s’est lancé dans les technologies émergentes, en misant principalement sur les cryptomonnaies et l’intelligence artificielle. Il a cofondé une société de minage et soutient activement le jeton $TRUMP, dont la valeur a explosé après son lancement, coïncidant avec le retour de son père au pouvoir. Considéré par certains comme une extension de la marque Trump, ce jeton semble bénéficier directement du contexte politique, alimentant les soupçons de collusion entre la présidence et les intérêts financiers familiaux.
Donald Trump Jr., dont la fortune était estimée à environ 50 millions de dollars en novembre 2024, aurait vu sa valeur nette atteindre environ 300 et 500 millions de dollars en 2025, selon Forbes et CelebsMoney.
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Eric Trump a vu sa fortune passer d’environ 40 millions de dollars fin 2024 à une estimation similaire à celle de son frère, soit environ 300 et 500 millions de dollars en 2025. selon diverses sources incluant Forbes et Celebrity Net Worth.
Lors d’une conférence de presse à la Maison-Blanche, Donald Trump et Elon Musk sont apparus ensemble malgré l’annonce, faite plus tôt cette semaine, du départ de Musk de l’administration.
Mystery over Elon Musk’s black eye as he joins Trump in Oval Office for goodbye event
L’événement a immédiatement attiré l’attention non pas pour son contenu politique, mais pour le mystérieux œil au beurre noir arboré par Musk.
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Alors que les réseaux sociaux s’enflammaient en direct, un journaliste a finalement interrogé Musk sur l’origine de sa blessure: il a répondu que son fils de cinq ans en était responsable.
Alors que les scandales s’intensifient, en particulier ceux liés à sa présumée consommation excessive de drogues, Elon Musk préparerait son retour à la tête de ses entreprises.
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Selon plusieurs rumeurs, Elon Musk envisagerait de quitter l’administration avec Katie Miller, l’épouse de Stephen Miller, chef de cabinet à la Maison-Blanche, qui était elle aussi présente dans le Bureau ovale pendant la conférence.
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Ce lien inattendu ne fait qu’alimenter les doutes autour de son départ, tout en relançant les spéculations sur son mystérieux œil au beurre noir.
Donald Trump est accusé de s’être comporté en «poule mouillée» sur la question des tarifs douaniers, ce qui l’a visiblement agacé: «Je ne me suis pas comporté comme une poule mouillée face aux tarifs douaniers.»
Reporter: Wall Street analysts have a new term called the TACO trade.. Saying Trump always chickens out on tariffs… Trump: I kick out?Reporter: Chicken out.
Cette réponse inhabituelle de Trump est survenue lors d’une conférence de presse à la Maison-Blanche, tenue en marge de la cérémonie d’assermentation de Jeanine Pirro comme procureure fédérale intérimaire.
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Une journaliste de CNBC lui avait alors demandé s’il souhaitait réagir à l’acronyme TACO, récemment popularisé parmi les analystes financiers pour désigner sa tendance à reculer dans sa guerre tarifaire.
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Trump a visiblement été pris de court par Megan Casella, journaliste de CNBC, lorsqu’elle l’a interrogé sur l’expression «Trump Always Chickens Out» et son acronyme… TACO.
Elle cherchait à savoir ce qu’il pensait de cette formule utilisée par certains analystes pour expliquer que les marchés ne réagissent plus à ses menaces tarifaires, convaincus qu’il finit toujours par reculer.
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En réaction, il a répondu sur la défensive à la journaliste lorsqu’il a finalement compris le sens de la question quelques instants plus tard en affirmant que ses actions faisait partie de l’art de la négociation, «Art of the Deal», en mettant les tarifs trop haut pour faire peur…
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Manifestement agacé, Trump a conclu sa réponse en qualifiant la question de «nasty», rejetant catégoriquement l’idée qu’il ait pu reculer.
Le segment, diffusé en direct, est rapidement devenu viral, propulsant l’acronyme TACO et le nom de Trump au cœur des échanges sur les réseaux sociaux.
Elon Musk vient d’annoncer son retrait de l’administration Trump, quelques jours seulement après avoir publiquement critiqué le «One Big Beautiful Bill Act» du président lors d’une entrevue à CBS Sunday Morning.
Elon Musk, who once called himself President Trump’s "first buddy," said he is ending his government work to spend more time on his companies. Read more: nyti.ms/4jqYNxk
Ce départ risque de lui laisser un goût amer, tant pour les répercussions personnelles que professionnelles. En effet, cette proximité avec Donald Trump, durant laquelle il était présenté comme un proche conseiller, a suscité de vives critiques.
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L’image de Musk, ainsi que celle de ses entreprises, en particulier Tesla, a été sérieusement ternie pendant cette période d’exposition médiatique intense, marquée par des prises de position hautement controversées et une forme d’arrogance affichée envers une partie importante de sa clientèle chez Tesla.
Plusieurs experts estiment d’ailleurs que les choix politiques de Musk ont profondément heurté au moins 20% de la fidèle clientèle de Tesla, une perte qu’ils jugent irrémédiable pour la marque.
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Dans une entrevue accordée à CBS Sunday Morning, Elon Musk a exprimé sa déception face aux dépenses massives prévues dans le «One Big Beautiful Bill Act» de l’administration Trump, soulignant que cette législation ne ferait qu’alourdir le déficit national.
Selon lui, cela annulerait les efforts rigoureux menés par le DOGE pour réduire les dépenses dans plusieurs départements clés, d’autant que le Congressional Budget Office (CBO) estime que ce projet de loi pourrait augmenter la dette fédérale de 3 800 milliards de dollars sur dix ans.
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Rapellons qu’Elon Musk avait été nommé à la tête du Département de l’Efficacité Gouvernementale (DOGE) avec l’ambitieux mandat de réduire les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars. Cependant, cet objectif a rapidement été revu à la baisse: ramené à 1 000 milliards, puis à seulement 150 milliards de dollars.
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À la fin de son mandat, le DOGE revendiquait 160 milliards de dollars d’économies, un chiffre que plusieurs analystes contestent, certains estimant même que ces mesures pourraient en réalité coûter 135 milliards aux américains en 2025.
