







Le compte officiel de la Maison-Blanche sur Truth Social a publié une photo de Donald Trump… en pape.
On comprend que la «blague» offense plusieurs pratiquants dans le monde, mais amuse la base de voteurs MAGA et ses partisans.
Il s’agit tout de même du plus récent épisode de mégalomanie de la part d’un président qui avait déjà mis le feu aux poudres il y a quelques jours à peine en affirmant souhaiter être pape lui-même, en marge de la mort du pape François.
Apple a dévoilé ses résultats pour le premier trimestre 2025, avec des ventes d’iPhone atteignant de justesse les 46 milliards de dollars prévus.
Les ventes d’Apple ont généré plus de 95 milliards de dollars de revenus au premier trimestre 2025, dépassant légèrement les prévisions d’un peu plus de 94 milliards.
Cependant, certains indicateurs révèlent déjà des tensions, notamment une baisse des ventes en Chine d’un milliard de dollars en dessous des projections.
Selon Forbes, les ventes d’Apple au premier trimestre dans la grande région de la Chine, actuellement au centre d’un conflit tarifaire majeur avec les États-Unis, se sont révélées inférieures aux attentes.
Alors que les projections misaient sur 17 milliards de dollars, les ventes ont atteint seulement 16 milliards.
Le PDG Tim Cook prévoit un deuxième trimestre difficile en raison des tarifs douaniers instaurés par l’administration Trump, qui entraîneraient, selon l’entreprise, des coûts supplémentaires estimés à 900 millions de dollars.
Rappelons que si le conflit commercial avec la Chine devait se prolonger, Apple en subirait inévitablement les conséquences, la Chine ayant représenté 17% de ses revenus en 2024.
De plus, au-delà de l’impact sur les ventes, la majorité des iPhone sont assemblés dans ce pays, ce qui accentue la vulnérabilité de l’entreprise.
Le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a fait part de son intention de céder 25 millions de ses actions Amazon, dont la valeur actuelle avoisinerait les cinq milliards de dollars américains.
Conformément aux exigences légales visant à prévenir les délits d’initiés, Amazon a divulgué que les ventes prévues par Jeff Bezos s’inscrivent dans un calendrier préétabli et sont exécutées de manière automatique.
Avec cette annonce, Bezos disposerait d’un délai d’un an pour réaliser la vente de ses 25 millions d’actions, qu’il devrait donc avoir finalisée d’ici le 29 mai 2026.
Rappelons que le milliardaire a, au cours des dernières années, déjà cédé une partie de ses actions Amazon afin de financer d’autres projets, notamment lors de l’acquisition du Washington Post.
Il a également utilisé ses actions pour financer ses projets spatiaux avec Blue Origin, qui a récemment envoyé Katy Perry dans l’espace.
Les cinq milliards issus de cette vente pourraient maintenant servir à accélérer le développement du projet Kuiper, une initiative destinée à concurrencer Elon Musk et SpaceX, en particulier en devenant un rival de taille pour Starlink.
Cette vente d’actions survient toutefois à un moment particulier pour Amazon, qui devra composer dans les mois à venir avec les tarifs annoncés par l’administration Trump.
L’entreprise affiche néanmoins de solides résultats pour le premier trimestre de 2025, avec une croissance de 19%.
La Russie ferait face à une pénurie de véhicules de transport pour ses troupes en zone de combat.
Pour pallier ce manque, elle recourrait à toutes sortes de moyens inhabituels pour déplacer ses soldats, notamment des Lada, des voiturettes de golf et des autobus scolaires.
En plus de ces moyens de transport inhabituels, on signalerait également l’utilisation de motos, de trottinettes électriques, d’une locomotive et de véhicules antiques des années 1950.
L’ensemble de ces équipements serait utilisé depuis un certain temps déjà, et certains proviendraient de sources extérieures à la Russie, notamment de Chine et du Bélarus.
Dernier ajout à la gamme de véhicules civils réquisitionnés par les forces russes, un autobus scolaire jaune aurait récemment été repéré par un drone ukrainien.
Le véhicule, abandonné dans un champ près de la ligne de front dans l’oblast de Donetsk, à l’est de l’Ukraine, illustre l’improvisation croissante des moyens de transport russes.
Selon Forbes, depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, les pertes de véhicules militaires russes seraient estimées à plus de 17 000 unités.
Face à un inventaire au plus bas, la Russie serait contrainte de modifier des véhicules civils pour assurer le déplacement de ses troupes en zone de combat, malgré leur faible capacité à franchir des terrains préparés pour les affrontements, comme les tranchées.
Le conseil d’administration de Tesla a rapidement réfuté un article du Wall Street Journal, assurant qu’Elon Musk conserve la pleine confiance des investisseurs pour diriger l’entreprise et qu’aucune recherche de successeur n’est en cours.
C’est sur X, le réseau social du milliardaire, que les défenseurs d’Elon Musk, dont Robyn Denholm, présidente du conseil d’administration de Tesla, ont dénoncé le reportage erroné du Wall Street Journal.
Selon elle, l’affirmation selon laquelle Tesla aurait mandaté des cabinets de recrutement pour trouver un successeur à Musk est infondée.
Sur X, Robyn Denholm affirme même que le Wall Street Journal avait été informé par le conseil d’administration que ces rumeurs étaient infondées, avant de prendre la décision de publier l’article évoquant des plans pour remplacer Elon Musk.
Rappelons que l’action de Tesla a chuté d’environ 30% depuis le début de l’année.
Ce recul s’explique par la baisse des ventes, une concurrence grandissante, en particulier des constructeurs chinois, ainsi que par les préoccupations liées à l’implication politique controversée d’Elon Musk, qui ont clairement nui à l’image de la marque.
Elon Musk et certains membres de Tesla ont publiquement critiqué le Wall Street Journal à la suite de cette publication, le milliardaire reprochant au journal d’avoir omis d’inclure dans l’article un «déni catégorique» formulé par Tesla.
Rappelons que le Wall Street Journal appartient depuis 2007 à News Corp, le groupe médiatique contrôlé par Rupert Murdoch, également propriétaire de Fox News.
Selon Forbes, les milliardaires subiraient les effets de la gestion économique de l’administration Trump de diverses manières.
Si certains parviennent pour l’instant à tirer profit de la situation malgré les obstacles financiers liés à la guerre tarifaire lancée par le président, d’autres, y compris plusieurs présents à son investiture en janvier, auraient déjà perdu des milliards depuis son retour à la Maison-Blanche.
Ces fluctuations marquées dans la fortune des milliardaires sont détaillées dans un article de Forbes publié à l’occasion des 100 premiers jours du second mandat de Trump à la Maison-Blanche.
Alors que les marchés ont brutalement chuté, notamment après l’annonce chaotique des tarifs le 2 avril, lors du «Liberation Day», certains milliardaires ayant soutenu publiquement Trump pourraient déjà commencer à regretter leur choix, après avoir perdu des milliards en seulement quelques semaines.
Certains milliardaires qui ont gardé une certaine distance dans leur soutien à Trump semblent mieux s’en tirer.
C’est le cas de Bill Gates, qui, tout en exprimant des inquiétudes face aux coupes budgétaires de l’administration Trump, notamment à l’USAID, aurait vu sa fortune augmenter de 2,5 milliards depuis l’entrée en fonction du président.
Le milliardaire Warren Buffett, qui avait notamment qualifié les tarifs de Trump de véritable d’acte de guerre, a vu sa fortune grimper de près de 20 milliards.
Pour d’autres, moins chanceux, les milliards se sont envolés en seulement quelques mois depuis le retour de Trump au Bureau ovale, alors qu’ils assistaient fièrement à son investiture il y a à peine quelques semaines.
Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, aurait perdu près de 22 milliards, tandis que Jeff Bezos, fondateur d’Amazon, aurait vu sa fortune diminuer d’environ 35 milliards.
Larry Ellison, d’Oracle, aurait perdu plus de 28 milliards, tandis que Larry Page et Sergey Brin, cofondateurs de Google, auraient vu leur fortune chuter respectivement de plus de 27 et 26 milliards.
De son côté, Jensen Huang, PDG de Nvidia, aurait perdu près de 25 milliards.
Le plus grand perdant de ce début de présidence chaotique reste Elon Musk.
Son implication directe dans les coupes budgétaires gouvernementales, qui ont déclenché d’importantes vagues de protestation, lui aurait coûté plus de 45 milliards de dollars.