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Révoltée, la présidente mexicaine accuse Trump de «propagande discriminatoire»

La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum dénonce une campagne publicitaire de l’administration Trump qu’elle qualifie de «propagande discriminatoire».

Mexican President Claudia Sheinbaum says her government plans to ban advertisements from the Department of Homeland Security, which show Secretary Kristi Noem warning migrants not to enter the United States illegally.

CNN (@cnn.com) 2025-04-24T01:13:18.310Z

Sheinbaum annonce son intention d’interdire une publicité mettant en cause le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis et Kristi Noem, qui ont récemment franchi la frontière du Mexique pour adresser aux migrants un message menaçant: «Nous vous traquerons».

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Cette publicité a poussé Sheinbaum à annoncer des propositions de réforme visant à interdire aux gouvernements étrangers de diffuser, au Mexique, ce qu’ils considèrent comme de la propagande politique ou idéologique

La publicité mettant en vedette Kristi Noem, diffusée notamment pendant un match de soccer en heure de grande écoute, a été qualifiée par Sheinbaum de «propagande discriminatoire».

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Claudia Sheinbaum affirme que cette même publicité de propagande américaine aurait également été diffusée à la radio et relayée sur les réseaux sociaux.

Elle insiste sur le fait que le Mexique «n’est pas d’accord» avec cette propagande visant la population migrante.

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Selon CNN, l’administration Trump et le Département de la Sécurité intérieure se réjouiraient de l’efficacité présumée de la publicité, affirmant qu’il y aurait une baisse générale des passages à la frontière, sans cibler spécifiquement le Mexique.

Aucune preuve tangible n’a cependant été présentée pour établir un lien direct entre la baisse des traversées et la campagne publicitaire, plutôt que les tensions économiques, notamment les guerres tarifaires.

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Ces tensions coïncident avec une nette baisse de l’intérêt à séjourner aux États-Unis, constatée à l’échelle mondiale, y compris à la frontière canadienne. Cette tendance s’est accentuée après plusieurs déclarations offensantes de Trump à l’égard du Canada, qui ont conduit de nombreux Canadiens à boycotter les États-Unis.

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La Chine accuse Trump de «fake news»

Le gouvernement chinois a retourné à Trump son expression favorite en le taxant de «fake news», après que ce dernier a laissé entendre que des pourparlers étaient en cours entre les deux pays pour mettre fin à la guerre tarifaire qu’il a lui-même déclenchée.

Chinese officials have insisted that no tariff negotiations are occurring, even as President Trump — whose trade war has rattled financial markets and threatened to disrupt huge swaths of trade — suggested on Friday that he has been in touch with Xi Jinping.

The New York Times (@nytimes.com) 2025-04-25T15:46:13.269Z

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Guo Jaikun, a qualifié de «fake news» les déclarations répétées de Trump cette semaine, dans lesquelles le président américain affirme que la Chine et les États-Unis seraient «activement» en train de discuter de questions commerciales.

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Trump a même déclaré, en réponse à des questions de journalistes, que deux représentants s’étaient rencontrés pour entamer des discussions.

Cependant, selon ABC News, il a refusé de révéler l’identité des participants à ces prétendues négociations, tandis que la Chine continue d’affirmer que Trump dit des mensonges.

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Plus tard, dans une entrevue accordée au Times, Donald Trump a maintenu que des discussions étaient en cours entre la Chine et les États-Unis, allant jusqu’à affirmer que le président Xi l’avait personnellement appelé à plusieurs reprises pour évoquer la question.

Du côté chinois, les autorités démentent être en train de «négocier activement» avec les États-Unis, affirmant qu’aucune consultation, aucune négociation sur la question des tarifs n’est en cours.

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Cette déclaration remet fortement en cause les progrès des négociations que Trump affirme avoir réalisés.

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Le comportement d’Elon Musk s’avère lourd de conséquences pour Tesla, dont les bénéfices ont dégringolé de 71%

Malgré une hausse de plus de 7% des ventes mondiales de véhicules électriques, Tesla a enregistré un recul de 13% de ses propres ventes par rapport à la même période l’an dernier, entraînant un effondrement de ses bénéfices, en chute libre de 71% au premier trimestre 2025.

Billionaire Elon Musk said he will step back from the U.S. DOGE Service next month and focus on Tesla, his reeling electric vehicle company, which on Tuesday reported a stunning 71 percent plunge in profits compared with the first quarter of 2024.

The Washington Post (@washingtonpost.com) 2025-04-23T12:02:46.607Z

Une baisse majoritairement attribuée aux vives controverses entourant Elon Musk, notamment son engagement politique américaine aux côtés de Trump avec le DOGE, ses propos et gestes controversés et sa proximité avec l’extrême droite.

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Ce revers majeur a poussé le PDG à annoncer aux investisseurs de Tesla qu’il allait prendre un certain recul par rapport au DOGE dès le mois prochain, afin de recentrer une partie de son attention sur l’entreprise de véhicules électriques.

Elon Musk a toutefois affirmé ne pas avoir l’intention de se retirer complètement du DOGE, précisant qu’il restera fortement impliqué au sein du département sous l’administration Trump jusqu’à la fin du mandat de Donald Trump.

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Les déclarations et comportements erratiques d’Elon Musk ont manifestement rebuté une partie de la clientèle de Tesla qui était déjà fragilisée par la montée en puissance de concurrents dans le secteur des véhicules électriques.

L’entreprise doit désormais faire face aux tarifs douaniers imposés par Donald Trump, ce qui complique encore davantage sa situation.

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En plus d’avoir tenté de rassurer les investisseurs sur son implication renouvelée dans l’entreprise, Elon Musk a également cherché à les apaiser quant à sa position sur les tarifs douaniers, affirmant plaider en faveur d’une réduction.

Il a toutefois précisé que, en fin de compte, les décisions reviennent au président.

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L’Ukraine rejette le plan largement favorable à la Russie de Trump, qui réagit en attaquant Zelensky

Le plan de paix proposé par l’administration Trump s’est rapidement effondré, l’Ukraine l’ayant fermement rejeté en raison de son orientation ouvertement favorable à la Russie, notamment en entérinant le contrôle russe sur les territoires occupés depuis trois ans, en reconnaissant l’annexion de la Crimée et en interdisant toute future adhésion de l’Ukraine à l’OTAN.

LATEST: President Trump slams Ukrainian President Zelenskyy, claiming a peace deal was “very close” but placed blame on the Ukrainian president for potentially derailing negotiations.

NBC News (@nbcnews.com) 2025-04-23T18:01:54Z

Cette initiative, présentée par les États-Unis, illustre une fois de plus l’alignement problématique de la politique étrangère de Trump avec les intérêts du Kremlin, au détriment de l’Ukraine.

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Zelensky a d’ailleurs été très clair quant à la position de l’Ukraine sur son intégrité territoriale:

«L’Ukraine ne reconnaîtra pas légalement l’occupation de la Crimée».

Zelensky a ensuite ajouté: «Il n’y a rien à discuter à ce sujet».

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Cette déclaration a visiblement irrité Donald Trump, qui a cité Zelensky dans un message publié sur Truth Social, l’accusant de ne plus avoir «aucune carte en main» et affirmant que la Crimée «a été perdue il y a des années».

L’administration Trump, par la voix du vice-président JD Vance et du secrétaire d’État Marco Rubio, a d’ailleurs menacé de se retirer des négociations de paix si l’Ukraine persistait à rejeter sa proposition.

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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a réaffirmé que l’Ukraine n’engagerait des négociations de paix avec la Russie qu’après l’établissement d’un cessez-le-feu complet.