NEW YORK – SEPTEMBER 23: Libyan leader Col. Moammar Gadhafi delivers an address to the United Nations General Assembly at U.N. headquarters September 23, 2009 in New York City. This is the 64th session of the United Nations General Assembly featuring leaders from over 120 countries. Iranian President Mahmoud Ahmadinejad is scheduled to speak later in the day. (Photo by Mario Tama/Getty Images)PARIS, FRANCE – SEPTEMBER 25: Former French president Nicolas Sarkozy addresses the press after he was found guitly on September 25, 2025 in Paris, France. Former French president Sarkozy is charged with making a deal with Libyan dictator Muammar Gaddafi to finance his 2007 presidential election campaign. The trial, which was held from January 6 to April 8, 2025, pitted the former president and 11 co-defendants against serious charges of corruption, concealment of embezzlement of Libyan public funds, illegal campaign financing and association of criminals. (Photo by Remon Haazen/Getty Images)PARIS, FRANCE – SEPTEMBER 25: Former French president Nicolas Sarkozy and with wife Carla Bruni addresses the press after he was found guitly on September 25, 2025 in Paris, France. Former French president Sarkozy is charged with making a deal with Libyan dictator Muammar Gaddafi to finance his 2007 presidential election campaign. The trial, which was held from January 6 to April 8, 2025, pitted the former president and 11 co-defendants against serious charges of corruption, concealment of embezzlement of Libyan public funds, illegal campaign financing and association of criminals. (Photo by Remon Haazen/Getty Images)PARIS, FRANCE – SEPTEMBER 25: Former French president Nicolas Sarkozy addresses the press after he was found guitly on September 25, 2025 in Paris, France. Former French president Sarkozy is charged with making a deal with Libyan dictator Muammar Gaddafi to finance his 2007 presidential election campaign. The trial, which was held from January 6 to April 8, 2025, pitted the former president and 11 co-defendants against serious charges of corruption, concealment of embezzlement of Libyan public funds, illegal campaign financing and association of criminals. (Photo by Remon Haazen/Getty Images)Former French president Nicolas Sarkozy leaves after a hearing in his trial on charges of illegal campaign financing from Libya for his successful 2007 presidential bid, at the Tribunal de Paris courthouse in Paris, on March 27, 2025. French prosecutors requested on March 27, 2025, a seven-year prison sentence for former president Nicolas Sarkozy in his trial on charges of accepting illegal campaign financing in an alleged pact with the late Libyan dictator. (Photo by Alain JOCARD / AFP) (Photo by ALAIN JOCARD/AFP via Getty Images)Marine Le Pen, President of the Rassemblement National (RN) parliamentary group, speaks to the press after a meeting with the Prime Minister at Hotel de Matignon in Paris, France, on September 17, 2025. (Photo by Adnan Farzat/NurPhoto via Getty Images)
Une prédiction catastrophiste virale appelée «Rapture» (Le Ravissement) s’est répandue sur TikTok pendant des semaines, affirmant que les 23 et 24 septembre, Jésus-Christ reviendrait sur Terre et emmènerait les croyants au Paradis.
This week, dozens of Christian creators on TikTok prepared for what they thought would be a biblical Rapture. It never came.
Mais rien ne s’est passé, et de nombreux adeptes exigent désormais des excuses de la part du pasteur à l’origine de cette prophétie apocalyptique.
Selon la chaîne NBC, la prédiction semble avoir été publiée sur YouTube par un pasteur sud-africain du nom de Joshua Mhlakela, qui a partagé sa théorie au cours de l’été.
CaptureCenttwinztv
Insistant sur le fait qu’il était « sûr à 100 % » après avoir reçu la vision dans un rêve en 2018, le pasteur a décrit l’événement comme un événement où les gens « disparaîtraient en un clin d’œil », ajoutant qu’il avait reçu le message de Jésus lui-même : « Les 23 et 24 septembre 2025, je viendrai prendre mon église »
« RaptureTok » : La prophétie apocalyptique qui a envahi TikTok
Le phénomène est rapidement devenu connu sous le nom de « RaptureTok », le hashtag #RaptureTok explosant sur la plateforme et générant des milliers de vidéos allant de témoignages de fidèles à des parodies virales en passant par des analyses sceptiques.
Des réactions extrêmes alimentées par la peur
Au-delà des mèmes et des satires, certains utilisateurs de TikTok ont pris la prophétie très au sérieux. Convaincus que la fin était proche, ils ont pris des décisions radicales : ils ont quitté leur emploi, vendu leurs biens ou même négligé leurs examens et leurs travaux scolaires.
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Les vidéos de croyants vendant leurs biens sont rapidement devenues virales, mais lorsque le jour supposé du « Ravissement » est arrivé et qu’il ne s’est rien passé, le hashtag s’est transformé en consternation parmi les croyants et en moquerie de la part des autres.
La prophétie s’est retournée contre elle : les vidéos d’anticipation anxieuse ont rapidement cédé la place au ridicule, à l’incrédulité et même à des demandes d’excuses publiques de la part du pasteur à l’origine de la prédiction.
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L’histoire virale du supposé « Ravissement » s’est répandue bien au-delà de TikTok et de ses plus de 360 000 messages sous le hashtag « rapture », attirant l’attention et la couverture des principaux médias, dont NBC, AP News, The Guardian et The New York Times.
The Rapture is upon us, according to TikTokers, some of whom have latched on to a prediction that on Tuesday, September 23 — today — Jesus Christ will return to Earth and take true believers to Heaven. Predicting the Rapture is a longstanding practice.
La 45e édition de la Coupe Ryder est à nos portes, alors que la compétition aura lieu sur le parcours Noir du Bethpage Black State Park à Farmingdale, dans la région de New York.
Il s’agit d’un événement de golf très attendu pour les amateurs de ce sport, mais la présence attendue du Président Donald Trump sur le site risque assurément de compliquer les plans des spectateurs en levée de rideau.
Des mesures restrictives importantes
Il est bien connu que lorsque Trump assiste à un événement public, des mesures de sécurité strictes doivent être mises en place afin de le protéger contre d’éventuelles menaces extérieures. Sa visite présidentielle à la Coupe Ryder n’y fera pas exception: il faudra s’attendre à des mesures de sécurité similaires à celles de l’aéroport. Les organisateurs du tournoi ont averti les détenteurs de billets quelques jours à l’avance, de façon qu’ils aient une marge de manœuvre pour prendre conscience de certains items qui seront interdits sur les lieux.
La liste des articles interdits autour du premier tertre de départ et du club-house inclut notamment les chaises pliantes portables, les gros appareils de vapotage, les briquets de type torche, ainsi que les contenants de boissons isolés en métal ou en plastique rigide. Les grands parapluies sont également proscrits, bien que les petits modèles rétractables soient permis, sous réserve de restrictions dans certaines zones du parcours et de la tribune principale, où l’usage de ponchos de pluie est vivement recommandé.
Par ailleurs, les télémètres seront strictement interdits sur le terrain de golf le vendredi 26 septembre, et tous les sacs, effets personnels et leur contenu pourront faire l’objet d’une inspection.
Enfin, les ordinateurs portables et les tablettes ne seront pas admis à l’intérieur du parcours Bethpage Black.
JUST IN
The Ryder Cup has announced that there will be enhanced security for President Trump's visit on Friday, including TSA-style screening whenever people leave the area around the clubhouse/1st tee/18th green.
Son apparition à la Coupe des Présidents en 2017 avait également fait jaser, ayant eu recours à des vitres pare-balles en remplacement des fenêtres régulières. Trump est un habitué des visites de terrains de golf, lui qui a mis les pieds sur un total de 60 sites depuis le début de son second mandat, selon le site didtrumpgolftoday.com.
(Photo credit should read NICHOLAS KAMM/AFP via Getty Images)
Sans oublier ses apparitions remarquées au Superbowl en février dernier et au US Open de l’ATP dernièrement.
La présence de Trump avait engendré un retard d’environ 50 minutes, d’ailleurs.
La porte-parole de la Maison-Blanche Karoline Leavitt n’a pas ménagé les éloges envers le président américain, elle qui a affirmé que ce dernier a sauvé le tournoi de la Coupe Ryder.
Karoline Leavitt says Trump saved the Ryder Cup golf match between the US and Europe. He said it would not be happening this weekend without him even though it has been played since 1927 somehow without his involvement. pic.twitter.com/EeRVqtOLun
Sans l’aide du président Trump, le tournoi n’aurait pas lieu cette année.
Selon Leavitt, le décret signé par Donald Trump pour empêcher une grève à la Long Island Rail Road, l’un des réseaux de transport en commun les plus importants d’Amérique du Nord, a sauvé le tournoi d’un sérieux contretemps. Ce service ferroviaire demeure en effet le moyen le plus pratique pour accéder au site de la compétition, situé au cœur de Long Island.
«Il s’agit de l’un des plus grands événements sportifs au monde, et il n’aurait pas pu avoir lieu cette année sans l’aide du président Trump.»– Karoline Leavitt, lors d’un point de presseà la Maison-Blanche
“This is one of the greatest sporting events in the world and it would not be taking place this year without President Trump's help.”
Trump saved the Ryder Cup. Thank you, Trump! Also hearing he just shot a 61 to give Team USA the early lead!
Malgré l’accessibilité au LIRR, les contraintes logistiques apparaissent inévitables, d’autant que la compétition doit s’ouvrir devant une foule imposante estimée à 50 000 spectateurs…
Quelques jours après son discours devant l’Assemblée générale de l’ONU à New York, le président Donald Trump semble toujours déstabilisé par les couacs survenus à son arrivée et pendant son allocution.
Il réclame désormais une enquête sur ce qu’il a qualifié de « triple sabotage », exigeant même que les responsables soient arrêtés.
UNE VÉRITABLE HONTE
-Donald Trump
Le président a exprimé ses frustrations dans un long message sur Truth Social, décrivant son expérience au siège de l’ONU comme « UNE VÉRITABLE HONTE ».
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Alors qu’il avait déjà signalé deux incidents spécifiques, l’escalator et le téléprompteur, Donald Trump en a ajouté un troisième, déclarant:
« Un véritable désastre a eu lieu aux Nations unies hier – pas un, pas deux, mais trois événements très sinistres! »
Un arrêt brutal
Dans son message, le président a raconté les événements en commençant par son arrivée au bâtiment de l’ONU, où il était censé emprunter un escalator pour atteindre la salle où il devait prononcer son discours. Il a affirmé que l’escalator « s’est arrêté brusquement », ajoutant qu’il était remarquable que la première dame et lui-même n’aient pas été blessés et qu’ils ne soient pas tombés en avant, la tête la première, sur les bords tranchants des marches en acier.
Donald semble avoir eu un peu la frousse lors de l’épisode…
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M. Trump a demandé que « les personnes qui ont fait cela soient arrêtées », citant un article de journal qui décrivait l’incident comme un « sabotage absolu »
Il a ajouté que, selon les rumeurs, les employés de l’ONU avaient même « plaisanté sur le fait d’arrêter un escalator ».
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M. Trump a ensuite évoqué un deuxième incident, qu’il a qualifié de délibéré, en déclarant que « devant un public de millions de téléspectateurs dans le monde, et avec d’importants dirigeants dans la salle, mon téléprompteur n’a pas fonctionné »
Le président a déclaré que le téléprompteur était soudainement devenu « froid comme la pierre », ajoutant qu’à ce moment-là, il s’est rendu compte que quelque chose d’inhabituel était en train de se produire:
« Wow, d’abord l’escalator, et maintenant un téléprompteur défectueux. Quel genre d’endroit est-ce là? »
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Des critiques fantastiques?
Il a insisté sur le fait que le moment avait été sauvé uniquement parce que son discours avait reçu des « critiques fantastiques », qualifiant d’exploit que « très peu de gens auraient pu réaliser » en parlant pendant 15 minutes sans téléprompteur.
Il a ajouté que lorsqu’il a demandé plus tard à la Première dame si elle avait apprécié son discours, elle lui a dit qu’elle « n’entendait rien ».
« Ce n’était pas une coïncidence, c’était un triple sabotage à l’ONU », a-t-il ajouté dans son message.
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En disant qu’il envoyait une copie de cette lettre au secrétaire général pour exiger une enquête immédiate, Trump a fait honte à l’ONU, déclarant:
« Ils devraient avoir honte d’eux-mêmes. Il n’est pas étonnant que les Nations unies n’aient pas été en mesure de faire le travail pour lequel elles ont été créées », a continué de se plaindre le président.
De gros ennuis
Il convient de rappeler que dès les premiers instants de son discours, Donald Trump a commencé son allocution aux Nations unies en se moquant de l’institution elle-même. Dès le début, il a fait référence à ses mésaventures et a déclaré aux délégués que les deux choses qu’il avait reçues de l’ONU étaient « un mauvais escalator et un mauvais téléprompteur ».
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Il a raconté comment l’escalator s’était bloqué à mi-chemin alors qu’il entrait dans le bâtiment et s’est plaint que son téléprompteur soit tombé en panne au début de son intervention, avertissant qu’un autre dysfonctionnement pourrait causer de « graves problèmes » et menaçant même l’opérateur de « gros ennuis » Ces commentaires ont suscité un mélange de rires et de silence gêné dans la salle.
Il a ensuite abordé la question de l’immigration, vantant sa ligne dure et déclarant qu’il était temps de mettre fin à ce qu’il a appelé « l’expérience des frontières ouvertes » M. Trump a également lancé une longue attaque contre les politiques climatiques, qualifiant le réchauffement de la planète de « canular » et d' »escroquerie commise par des gens stupides » Se moquant des écologistes, il a lancé: « Plus de vaches, nous ne voulons plus de vaches. Je suppose qu’ils veulent tuer toutes les vaches »
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L’ancien président a fait l’éloge du retrait de l’Amérique de l’accord de Paris sur le climat et a loué le « charbon propre et magnifique » comme étant au cœur de sa vision de la politique énergétique.
Trump is demanding an investigation following what he described as a “triple sabotage” during his UNGA visit, taking to social media to claim that a series of technical mishaps, involving a stopped escalator, a teleprompter failure and audio issues, were deliberate acts meant to undermine him.
Le retour de Jimmy Kimmel sur les ondes avec son émission de fin de soirée a enregistré des taux d’audience record, avec l’épisode régulier le plus performant depuis plus d’une décennie.
Jimmy Kimmel’s return to late-night television after a brief suspension drew 6.26 million total viewers, according to preliminary Nielsen ratings, marking the show’s highest-performing regularly scheduled episode in over a decade.
Ce retour fait suite à la décision d’ABC de retirer l’émission après les réactions négatives de l’administration Trump aux commentaires de Kimmel critiquant Donald Trump et la réaction des dirigeants républicains à la mort de Charlie Kirk.
CaptureJimmyKimmelLive/ABC/Disney
Selon NBC, l’épisode de Jimmy Kimmel Live! a attiré 6,26 millions de téléspectateurs au total, d’après les premières estimations de Nielsen, ce qui en fait l’épisode régulier le plus performant de l’émission depuis plus de dix ans.
Ce résultat est d’autant plus remarquable que l’émission n’a pas été diffusée sur près d’un quart des chaînes de télévision américaines, car deux grands propriétaires de chaînes affiliées à ABC, Nexstar et Sinclair, ont refusé de la diffuser malgré la décision de Disney d’approuver le retour de Kimmel à l’antenne.
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L’épisode de YouTube intitulé « Jimmy Kimmel est de retour » a remporté un franc succès, avec 20 millions de vues en 24 heures.
Tu n’arrives pas à croire qu’ils m’ont rendu mon travail? Je n’arrive pas à croire qu’on t’ait rendu ton travail!
-Jimmy Kimmel
L’emportement, la colère et les menaces de Trump
Donald Trump s’est déchaîné sur Truth Social après le retour de Jimmy Kimmel à la télévision, lançant une tirade furieuse à la fois contre l’humoriste et contre ABC.
Il a accusé la chaîne d’avoir fait une « grosse erreur », s’est moqué de Kimmel en le qualifiant de sans talent et a qualifié son émission de « poubelle démocrate ».
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Trump est allé plus loin en brandissant la menace d’une action en justice, se vantant d’avoir déjà conclu un accord de 16 millions de dollars avec ABC et laissant entendre qu’un autre procès pourrait être « encore plus lucratif ».
Kimmel répond lors de sa deuxième soirée
Jimmy Kimmel a profité de sa deuxième soirée de retour à l’antenne pour répondre aux attaques du président.
Loin de se laisser intimider, Kimmel a rappelé à Trump, qui lui avait dit de « pourrir dans ses mauvaises audiences », que les chiffres des sondages du président n’étaient guère meilleurs, plaisantant sur le fait qu’il était le bienvenu dans le « club des mauvaises audiences ».
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En réponse au message de Trump sur Truth Social qui disait: « Je ne peux pas croire que ABC Fake News ait redonné son travail à Jimmy Kimmel », Kimmel a répliqué:
« Tu n’arrives pas à croire qu’ils m’ont rendu mon travail? Je n’arrive pas à croire qu’on t’ait rendu ton travail! »
Un premier monologue émouvant
Jimmy Kimmel a repris son émission de fin de soirée cette semaine après avoir été brièvement contraint de quitter l’antenne, une décision qui, selon lui, a été prise sous la pression de l’administration Trump. Son monologue de retour a mêlé émotion et résilience, accusant le président d’essayer de le faire taire, avertissant qu’une telle intimidation menaçait non seulement ABC, mais aussi le droit constitutionnel à la liberté d’expression et le rôle d’une presse libre dans une démocratie.
Il a qualifié cette tentative d' »anti-américaine ».
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Kimmel a aussi décrit la vague de solidarité qu’il a reçue dans les jours qui ont suivi sa suspension, notant que le soutien ne venait pas seulement des téléspectateurs, mais aussi de ses collègues animateurs de fin de soirée aux États-Unis et à l’étranger, ainsi que de voix inattendues de la droite politique. Tout en soulignant ses désaccords profonds avec des personnalités telles que Ben Shapiro, Candace Owens et Ted Cruz, il les a remerciés d’avoir défendu son droit de s’exprimer librement.
« Le gouvernement ne peut pas être autorisé à contrôler ce que nous disons ou ne disons pas à la télévision », a-t-il déclaré.
L’animateur a également abordé la controverse qui a déclenché sa révocation. Il a insisté sur le fait qu’il n’avait jamais eu l’intention de tourner en dérision l’assassinat de Charlie Kirk, rappelant qu’il avait immédiatement présenté ses condoléances à la famille de ce dernier.
Sa critique, a-t-il dit, ne visait pas la victime ou un groupe politique, mais le climat de violence en général.
« Il s’agissait d’une personne malade qui pensait que la violence était une solution, et ce n’est pas le cas… jamais », a déclaré Kimmel avec fermeté.
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Kimmel a accusé l’administration Trump, notamment le directeur de la FCC Brendan Carr, de menacer les radiodiffuseurs et de pousser à la censure, des tactiques qu’il a comparées à une intimidation de type mafieux. Il a souligné l’ironie du fait que les républicains qui ont autrefois défendu la liberté d’expression appellent maintenant à faire taire les animateurs de fin de soirée. Il a également prévenu que l’approche de l’administration ne se limitait pas aux émissions humoristiques, soulignant les nouvelles règles du Pentagone qui interdisent aux journalistes de publier sans l’approbation du gouvernement.
Tout en remerciant Disney d’avoir finalement autorisé le retour de son émission, M. Kimmel a reconnu que l’entreprise courait un risque politique en défiant les exigences de M. Trump.
Il a même plaisanté sur la condition supposée de son retour… être invité à lire des instructions sur la manière de se réabonner à Disney+ et Hulu!
Un clin d’œil à la vague d’annulations qui avait suivi sa suspension, bien sûr.
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Kimmel a terminé sa première émission de retour sur une note personnelle, en félicitant Erika Kirk, la veuve de Charlie Kirk, pour son acte de pardon envers l’assassin de son mari. Il l’a qualifié d' »acte de grâce désintéressé » et a rappelé aux téléspectateurs qu’en fin de compte, c’est l’humanité qui compte vraiment.