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Elon Musk réduit sa promesse de 2 000 milliards de dollars d’économies… à 150 milliards

Celui qui déclarait récemment au CPAC qu’il «vit juste le mème», Elon Musk, ridiculise une fois de plus les résultats qu’il promet depuis des mois.

Elon Musk now admits his Department of Government Efficiency will produce only 15% of the savings it promised. But even that estimate is inflated with errors and guesswork. www.nytimes.com/2025/04/13/u…

The New York Times (@nytimes.com) 2025-04-13T19:27:41.265Z

Il a récemment admis avoir encore réduit de façon significative les économies qu’il promettait aux Américains.

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Cela, malgré des coupes brutales sans égard à l’appareil gouvernemental et malgré une première révision à la baisse de moitié annoncée quelques semaines plus tôt.

À l’origine, il promettait rien de moins que 2 000 milliards d’économies grâce aux coupes de DOGE!

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Cette promesse a été réduite de moitié une première fois, puis une seconde fois, au point qu’il ne reste plus que 150 milliards d’économies sur la table dans un contexte où le budget fédéral approche les 7 000 milliards de dollars.

Selon le New York Times, à peine 15% des économies annoncées par Musk seraient réellement réalisables.

Le reste reposerait sur des chiffres gonflés et des approximations: toujours selon le journal, Musk inclurait des montants exagérés, prévoirait des dépenses futures incertaines et comptabiliserait des fonds qui ne seraient engagés que lors du prochain exercice budgétaire.

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Rappelons que plusieurs des économies avancées par DOGE se sont avérées fausses ou fortement exagérées.

Certaines «fraudes découvertes» l’avaient déjà été sous l’administration précédente, et des erreurs flagrantes ont été relevées, comme un contrat de 8 millions présenté à tort comme une économie… de 8 milliards.

Des experts pointent un sérieux manque de rigueur et de transparence.

Surpris?

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Neil Young soutient Mark Carney et s’en prend à Trump

Dans une lettre ouverte publiée sur son site web et adressée à Mark Carney, candidat du Parti libéral et actuel premier ministre du Canada, le musicien Neil Young ne tarit pas d’éloges à son égard, le présentant comme la personne idéale pour diriger un pays confronté à des menaces existentielles.

Il en profite aussi pour critiquer au passage le président des États-Unis.

Thank you, Neil, for your support. Keep on Rockin’ in the Free World. tinyurl.com/yzmj52yj

Mark Carney (@mark-carney.bsky.social) 2025-04-16T03:35:39.653Z

Dans sa lettre, Neil Young évoque avec émotion son enfance au Canada: né à Toronto, il a grandi en Ontario, surmonté la polio, découvert la guitare, avant de devenir musicien.

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Il se dit reconnaissant d’avoir eu le privilège d’une tribune lui permettant de mettre en lumière des causes importantes, de défendre la justice et de «dire la vérité au pouvoir».

Young affirme que le Canada est aujourd’hui confronté à une menace pour sa propre existence venant de ceux que l’on croyait être des alliés, mais qui convoitent nos ressources, nos terres, nos pêches, notre eau, notre Arctique et peut-être même nos âmes.

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Il ajoute: «Je sais que le président américain aurait besoin d’une âme.»

Le musicien poursuit en affirmant que pour faire face à ce type de menace, il faut bien plus que du simple «bravado». Il insiste sur l’importance d’avoir de l’intelligence, une solide compréhension de l’économie, ainsi que la capacité de reconnaître et de saisir les occasions avec des stratégies fortes et réfléchies afin d’apporter un nouveau niveau de prospérité et de sécurité aux Canadiens.

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Le musicien affirme croire fermement que Mark Carney est celui qui a les capacités nécessaires pour relever ce défi et guider le pays à travers cette situation.

Selon lui, Carney est l’homme qu’il faut pour bâtir un Canada plus fort, plus intelligent et plus résilient, tout en préservant nos valeurs fondamentales de compassion, d’équité et de générosité et Young est convaincu que Carney a les compétences pour y parvenir.

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Young conclut en reconnaissant que le défi qui attend le prochain premier ministre dans les années à venir sera immense, mais affirme qu’il soutient Carney jusqu’au bout.

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Avec Bernie Sanders, AOC attire les foules et engrange des millions pour les démocrates

L’alliance entre Bernie Sanders et Alexandria Ocasio-Cortez semble porter ses fruits: cette dernière aurait presque doublé ses récoltes des trois derniers mois, établissant un record de financement trimestriel avec près de 10 millions de dollars amassés.

I cannot convey enough how grateful I am to the millions of you all supporting us with your time, resources, and energy.Your support has allowed us to rally people together at record scale to organize their communities.All with an average donation of $21.THANK YOU & Pa’lante 🙏🏽♥️

Alexandria Ocasio-Cortez (@aoc.bsky.social) 2025-04-15T17:47:47.123Z

Alors qu’AOC est au cœur de la tournée «Fighting Oligarchy» aux côtés de son collègue démocrate Bernie Sanders, un événement qui attire des milliers de personnes à travers plusieurs États, sa popularité semble atteindre un sommet.

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Cela se reflète dans ses résultats de financement, alors que plus de la moitié de ses donateurs seraient de nouveaux contributeurs, selon les données qu’elle a partagées sur les réseaux sociaux.

En repartageant avec fierté sur les réseaux sociaux les données publiées par son directeur de campagne et conseiller principal Olivier Hidalgo-Wohlleben, AOC s’est dite reconnaissante et a souligné que les contributions de 266 000 donateurs avaient été faites avec un don moyen de 21$.

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Hidalgo-Wohlleben a confirmé sur les réseaux sociaux qu’AOC venait de connaître son «meilleur quart depuis toujours», ayant levé plus de 9,5 millions de dollars.

Certains avancent qu’AOC pourrait se préparer à défier Chuck Schumer lors des primaires de 2028. Le chef de la minorité au Sénat est vivement critiqué pour son inaction, jugée responsable d’avoir permis l’adoption du budget de l’administration Trump, marqué par des coupes majeures dans tous les secteurs de l’État, dont l’aide aux vétérans, la santé publique, l’éducation, l’IRS et la sécurité sociale.

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AOC et Bernie Sanders attirent des foules massives à travers les États-Unis, tant dans les États bleus que rouges, témoignant d’un fort appui populaire.

Ils ont parlé devant plus de 36000 personnes à Los Angeles en Californie, près de 34 000 à Denver au Colorado, 20000 à Salt Lake City en Utah et à plus de 12000 personnes à Nampa en Idaho.

20,000 in ruby red Utah on their feet, in community, and ready to organize for a better world.A better world is possible.

Alexandria Ocasio-Cortez (@aoc.bsky.social) 2025-04-14T01:25:04.285Z

Leur message, qui dénonce l’influence démesurée des ultra-riches sur la politique américaine et appelle à une mobilisation populaire pour défendre la démocratie, insiste sur une idée forte: le pouvoir appartient au peuple, pas aux milliardaires.

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Une déclaration qui trouve un large écho auprès des électeurs.

Neil Young appuie Mark Carney et attaque Trump

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Agacé par ses questions sur Kilmar Abrego Garcia, Trump devient agressif avec Kaitlan Collins de CNN

Alors que Trump répondait aux questions des journalistes présents dans le bureau ovale, lors de la visite du président du Salvador, il s’est emporté contre la journaliste de CNN Kaitlan Collins.

CNN anchor Kaitlan Collins was forced to re-live her Monday afternoon dressing-down at the hands of President Donald Trump just hours later on her own show.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-04-15T03:38:12.447Z

Collins cherchait à obtenir des explications claires sur les décisions prises à propos de Kilmar Abrego Garcia, un homme expulsé par erreur par l’administration Trump vers une super-prison au Salvador.

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Alors que la journaliste interrogeait Trump sur son intention d’aider à rapatrier l’homme que son administration admettait avoir expulsé par erreur au Salvador, il a d’abord délégué la réponse à Pam Bondi. Bondi a affirmé que Garcia faisait partie d’un gang criminel, une déclaration contredite par plusieurs sources. Trump l’a ensuite complimentée pour son bon travail.

Puis, interrompant Kaitlan Collins en pleine question, il a sollicité Stephen Miller pour répondre à celle de CNN, justifiant son geste en déclarant que «Ils demandent toujours avec un biais parce qu’ils sont biaisés parce qu’ils ne savent pas ce qui se passe», ajoutant que c’était précisément pour cela que plus «personne ne les écoutait».

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La journaliste a reformulé sa question en rappelant que Trump aurait déclaré, à bord de l’Air Force One, qu’il se conformerait à une décision de la Cour suprême ordonnant le retour de la personne concernée, une remarque à laquelle Kaitlan Collins faisait référence, citant les propos tenus par Trump quelques jours plus tôt:

«Si la Cour suprême disait de ramener quelqu’un, je le ferais, je respecte la Cour suprême.»

Plutôt que de répondre à la question, Trump s’est moqué de Kaitlan Collins en lui lançant:

«Pourquoi ne dis-tu pas simplement que c’est merveilleux que nous empêchions les criminels d’entrer dans notre pays, pourquoi ne peux-tu pas simplement dire cela?»

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Trump a reproché à Collins et à CNN de revenir sans cesse sur «les mêmes choses», ajoutant que c’était précisément pour cela que plus personne ne les écoutait et qu’ils avaient perdu toute crédibilité.

L’échange s’est encore envenimé lorsque Trump a invité Stephen Miller à répondre à la question adressée au président du Salvador. Ce dernier avait déjà réagi en demandant à la journaliste de CNN si, à l’inverse, elle s’attendrait à ce qu’il fasse passer un «criminel» clandestinement aux États-Unis, une allusion directe à Garcia, qualifiant la question de complètement absurde, alors qu’il était question d’une éventuelle aide au retour du migrant expulsé par erreur.

Miller a soutenu que Garcia était un citoyen salvadorien et a qualifié d’arrogante l’idée qu’un média américain puisse suggérer comment le Salvador devrait gérer ses propres ressortissants.

Ce n’est pas la seule attaque qu’ont essuyée CNN et Kaitlan Collins lors de la visite du président salvadorien. Alors que celui-ci posait une question à Donald Trump en s’interrogeant sur le silence des médias, Trump a rétorqué en pointant la journaliste de CNN, affirmant que c’était parce que les médias étaient des «fake news» comme CNN et qu’ils n’aimaient pas diffuser de bonnes nouvelles, ajoutant: «Je pense qu’ils détestent notre pays».

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De retour en studio, Dana Bash de CNN a tenu à rétablir les faits face à la déclaration choquante de Trump, en précisant que cela devrait aller de soi, mais qu’il fallait le dire clairement:

«Nous avons entendu le président Trump déclarer dans le Bureau ovale que CNN détestait notre pays. CNN ne déteste pas notre pays.»

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Dana Bash a conclu sur le sujet en rappelant qu’elle travaillait pour CNN depuis 32 ans, et en interprétant les propos de Trump comme une stratégie rhétorique, déclarant: «Je vois un procédé rhétorique dans sa tentative de dire une telle chose.»

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C’est la guerre entre Trump, Harvard et Obama

Quelques heures après qu’Harvard a annoncé son refus de se conformer à une série de demandes de l’administration Trump, Donald Trump a répliqué en annonçant le gel de plus de deux milliards de dollars de fonds fédéraux et contrats destinés à l’université.

Obama's criticism of Trump's "ham-handed" demands could encourage other universities to follow Harvard's example.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-04-15T14:22:55.271Z

Selon une lettre de l’administration Trump adressée à Harvard, obtenue par le New York Times, la Maison-Blanche exigeait que l’université se conforme à une série de mesures, sous peine de perdre son financement, notamment destiné à la recherche.

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Harvard accuse le gouvernement de dissimuler, derrière certaines de ces exigences liées à la lutte contre l’antisémitisme, une tentative de régulation directe des conditions intellectuelles au sein de l’université.

Le message du président de l’université d’Harvard à l’administration Trump est sans équivoque:

«L’Université ne renoncera ni à son indépendance ni à ses droits constitutionnels.»

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Il a également déclaré: «Aucun gouvernement, quel que soit le parti au pouvoir, ne devrait dicter ce que les universités privées peuvent enseigner, qui elles peuvent admettre ou recruter, ni les domaines de recherche qu’elles peuvent explorer.»

Cette déclaration ferme a été rapidement applaudie par l’ancien président Barack Obama, lui-même diplômé de la réputée faculté de droit de Harvard. Il a qualifié les tentatives de l’administration Trump de contrôler la liberté académique d’«illégales et maladroites».

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Obama a exprimé l’espoir que la décision prise par Harvard serve d’exemple et encourage d’autres universités et institutions à suivre la même voie.

Les universités américaines sont confrontées à des pressions de l’administration Trump, accusée de s’en prendre aux principes fondamentaux d’une société démocratique, tels que la liberté d’expression, d’association et la liberté académique. Cette tentative a été dénoncée dans une lettre signée par près de 900 institutions, dont des membres du corps professoral de Yale, selon The Guardian.

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Les exigences de Trump incluaient notamment que l’université supprime ses programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI), modifie ses politiques d’admission pour les baser uniquement sur le mérite, restreigne l’admission des étudiants internationaux jugés hostiles aux valeurs américaines, interdise les groupes étudiants pro-palestiniens, collabore avec les autorités d’immigration et impose une interdiction du port de masques lors des manifestations sur le campus.

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