







En avril dernier, le Vatican a perdu son meneur, alors que le pape François a rendu l’âme à l’âge de 88 ans, à la suite de complications médicales.
À la suite de cette nouvelle terrible pour l’Église catholique, un nouveau pape doit être nommé, en marge du Conclave.
133 cardinaux sont maintenant isolés du monde extérieur, à la Chapelle Sixtine, jusqu’à ce qu’un nouveau Pape soit élu par le Conclave. Notons que le futur Pape doit obtenir deux tiers des votes pour obtenir le poste, donc la lutte risque assurément d’être intéressante à suivre.
En attendant les résultats de ce vote, des sites de paris se sont prêtés au «jeu», alors que les prédictions viennent de sortir, quant au résultat de l’élection, et vous pouvez parier!
Selon les estimations, le Cardinal Pietro Parolin (Italie) serait le favori pour devenir le nouveau Pape avec 27%, étant suivi par Luis Antonio Tagle (Philippine) au second rang avec 22,3%. Matteo Zuppi (Italie) complète le top-3 avec 10,9%. On comprend donc qu’il n’y a que deux sérieux candidats, selon les résultats de ces prédictions.
Bien que le tout soit imprévisible, on doit souligner que ces sites de paris en question avaient correctement prédit le résultat de l’élection américaine, en novembre dernier, soit une victoire de Donald Trump face à Kamala Harris.
Ceci étant dit, en 2013, lorsque François a été nommé comme Pape, il n’était pas le favori en lice pour le poste, alors que le Cardinal Angelo Scola était autrefois pressenti pour avoir le trône.
Parier sur le pape?
Voilà qui n’est pas très catholique…
La police de Rio de Janeiro a arrêté deux personnes soupçonnées de planifier une attaque lors du méga concert gratuit de Lady Gaga sur la plage de Copacabana.
Une troisième personne, qui aurait projeté de réaliser un «rituel satanique» pendant le concert de la chanteuse, a également été interpellée dans le cadre de l’enquête visant à identifier d’autres complices impliqués dans l’attaque.
Alors que Gaga se produisait gratuitement devant près de 2,1 millions de personnes, ni elle ni son équipe ne savaient que l’événement était la cible de deux individus se faisant passer en ligne pour des fans.
Ces derniers tentaient de recruter d’autres personnes pour mener une attaque ciblant la communauté LGBTQ+ à l’aide d’explosifs improvisés et de cocktails Molotov.
La police a gardé secrètes les informations de son enquête, baptisée «Operation Fake Monster», jusqu’aux arrestations, afin d’éviter une panique de masse ou une déformation des faits qui aurait pu compromettre l’investigation.
Selon CNN, les suspects appartenaient à un groupe haineux en ligne qui cherchait à radicaliser les jeunes en diffusant des contenus liés aux crimes de haine, à l’automutilation, à la violence et à la pédophilie.
La police brésilienne affirme également avoir déjoué, dans les semaines précédant le concert de Gaga, plusieurs crimes planifiés sur le dark web, sans lien direct avec l’événement, mais laissant penser que le groupe ayant ciblé le concert était également actif sur ces réseaux clandestins.
Dans le cadre de l’enquête sur l’attaque planifiée, la police a arrêté un individu, poursuivi pour des faits de terrorisme.
D’après les autorités, il projetait de commettre un «rituel satanique impliquant le meurtre d’un enfant ou d’un nourrisson» pendant le concert de Lady Gaga.
Donald Trump a annoncé sur TruthSocial le lancement immédiat d’un processus visant à imposer une taxe de 100% sur tous les films produits à l’étranger entrant aux États-Unis.
Selon lui, l’industrie cinématographique américaine est en déclin, et il martèle: «NOUS VOULONS DES FILMS FABRIQUÉS EN AMÉRIQUE, À NOUVEAU!».
Le président a justifié sa requête auprès du Département du Commerce et du Représentant américain au Commerce, leur demandant de traiter ce dossier sans délai, en affirmant qu’il constitue, selon lui, une menace pour la sécurité nationale.
Ces déclarations de Donald Trump, qualifiant la délocalisation des productions hollywoodiennes de menace pour la sécurité nationale, visent notamment des villes comme Dublin en Irlande, mais constituent aussi une nouvelle attaque majeure contre le Canada.
Des centres de production comme Montréal et Toronto attirent en effet depuis des années les studios américains grâce à des crédits d’impôt généreux offerts aux productions cinématographiques et télévisuelles étrangères.
Selon CNN, l’imposition de tarifs douaniers de 100% sur les films produits à l’étranger risque de compliquer davantage la situation des studios hollywoodiens, alors qu’une part importante des productions américaines est réalisée en dehors des États-Unis.
La réduction des coûts de production et de main-d’œuvre que permettent les tournages à l’étranger est devenue d’autant plus cruciale pour Hollywood depuis la pandémie, qui a porté un coup dur aux revenus générés en salles.
Sous la pression des réactions négatives de l’opinion publique américaine à sa guerre tarifaire avec la plupart des pays, à l’exception notable de la Russie, Donald Trump, dont la fortune a dépassé les 7 milliards de dollars en janvier selon Bloomberg, maintient une position de défiance face aux critiques croissantes des Américains à l’encontre de sa politique économique, notamment en ce qui concerne le nombre de poupées et de crayons que les enfants américains devraient avoir.
Dans une entrevue avec NBC News, le président a réaffirmé les propos tenus la semaine précédente lors d’une réunion du cabinet soulignant ses 100 premiers jours au pouvoir, selon lesquels les fillettes devraient se contenter de deux poupées plutôt que d’en avoir 30… et même qu’elles coûteront plus cher!
Cette fois, il a ajouté en prime qu’il suffirait aux enfants américains de ne posséder que cinq crayons.
Alors que le président a lancé une guerre tarifaire majeure contre la Chine, une initiative qui devrait provoquer des perturbations majeures dans l’approvisionnement des magasins aux États-Unis dans les semaines à venir, les critiques se font de plus en plus vives à l’égard du président milliardaire qui a fait fortune pour lui et ses enfants depuis le début de ses aventures politiques, mais surtout avec le lancement de sa crypto-monnaie «meme coin» qui, à elle seule, selon le Financial Times, aurait généré au moins 350 millions de dollars de revenus en seulement trois semaines après son lancement en janvier 2025.
Tentant de minimiser l’ampleur des perturbations à venir dans les foyers des familles américaines, Trump a affirmé, en réponse à une question sur les effets de ses tarifs pour les consommateurs:
«Je ne pense pas qu’une belle petite fille de 11 ans ait besoin de 30 poupées.»
Il a ensuite déclaré:
«Ils n’ont pas besoin d’avoir 250 crayons. Cinq, ça suffit.»
Le président a poursuivi en affirmant, à propos des poupées et des crayons, qu’il n’était pas utile, selon lui, de gaspiller de l’argent pour des trucs inutiles dont on n’a pas besoin.
Il a ajouté qu’à ses yeux, peu importe si les poussettes et les poupées deviennent plus chères: l’essentiel est que le prix de l’essence baisse.
Et de conclure:
«C’est mille fois plus important qu’une poussette ou quoi que ce soit d’autre.»
Interrogé sur la durée anticipée de cette transition tarifaire, Trump a reconnu ne pas en connaître l’issue, tout en assurant:
«On gagne beaucoup d’argent, tout se passe très bien.»
Lors de leur première rencontre officielle, le nouveau premier ministre du Canada, Mark Carney, et le président des États-Unis, Donald Trump, ont échangé des propos cordiaux, Trump félicitant Carney pour sa victoire et affirmant son attachement au Canada ainsi que son souhait d’entretenir une relation d’amitié entre les deux pays.
La question sensible du 51ᵉ État, véritable éléphant dans le Bureau ovale, n’a bien sûr pas échappé aux nombreux journalistes présents, alors qu’elle a été évoquée en face à face par les deux dirigeants lors de leur échange.
Trump a tenté de modérer ses propos, tout en réaffirmant qu’il aimerait voir cette idée se concrétiser, ajoutant qu’il «croit toujours que le Canada devrait devenir le 51ᵉ État».
Il a toutefois précisé que cela devrait se faire dans un esprit d’amitié, avant de conclure: «Nous n’en parlerons pas, à moins que quelqu’un veuille en parler».
Carney a tenu à rappeler à Trump qu’alors même qu’il avait rencontré les propriétaires du Canada durant sa campagne, le message des Canadiens, selon lui, est clair: «Ce n’est pas à vendre».
Carney a ajouté: «Il existe des endroits qui ne seront jamais à vendre», citant notamment avec, une comparaison immobilière, la Maison-Blanche comme exemple symbolique.
Mark Carney a clos le débat en déclarant fermement: «Ce ne sera jamais à vendre»,
Depuis le Bureau ovale de la Maison-Blanche, Donald Trump s’est déclaré très honoré d’accueillir le Premier ministre canadien Mark Carney, rappelant que ce dernier avait remporté, selon ses mots, «une très grande élection».
Trump s’est ensuite attribué une part du mérite pour la victoire de Carney, déclarant qu’il pensait être «la meilleure chose qui lui soit arrivée».
Trump a déclaré que le parti de Carney, dirigé auparavant par Justin Trudeau, «perdait largement» «Was losing by a lot» avant que Carney ne finisse par remporter l’élection.
Le président a ensuite décrit cette victoire comme «l’un des plus grands retours de l’histoire politique, peut-être même plus grand que le sien»!
Trump a ensuite déclaré avoir suivi les élections canadiennes avec grand intérêt. Trump ajoutant qu’à ses yeux, le Canada avait choisi «une personne très talentueuse et une très bonne personne».
Mark Carney ne pourra qu’apprécier de tels compliments venant de Donald Trump, qui n’avait cessé de critiquer son prédécesseur Justin Trudeau. Trump a d’ailleurs confié à Carney qu’il n’appréciait pas particulièrement l’ancien premier ministre.
Des discussions musclées entre les deux dirigeants sont d’ailleurs attendues dans les semaines à venir, notamment sur la question des tarifs douaniers.